TRANSCRIPTION
Tavis Smiley : Bonsoir de Los Angeles. Je suis Tavis Smiley.

Ce soir, une conversation avec l'acteur et musicien, Hugh Laurie. Le candidat six fois aux Emmy Awards pour son dépeindre indélébile de "House" sur la série de FOX longue durée est maintenant en tournée avec le cuivre bande Bas interprète des classiques de son deuxième album de blues, "at-il pas de pluie."

Nous sommes heureux que vous nous avez rejoint. Une conversation avec Hugh Laurie à venir dès maintenant.

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Annonceur : Et par les cotisations à votre station PBS de téléspectateurs comme vous. Merci.

Tavis : Avec six nominations aux Emmy Awards répartis sur le terme de huit ans de "Dr House" sur la FOX, Hugh Laurie nous a convaincu qu'il était un brillant, mais dédaigneux, médecin maintenant sur ​​son deuxième CD de blues intitulé "n'at-il pas de pluie. "Il nous convaincre qu'il est un héritier logique des grands bleus traditions de WC Handy et Jelly Roll Morton. Commençons notre première conversation avec une coupe de ce CD intitulé "Evenin '."

[Clip]

Tavis : Ainsi, chaque artiste que je n'ai jamais parlé de toute ma carrière soit aime ou déteste la façon dont elles sonnent, alors ...

Hugh Laurie : la haine. La haine, la haine, la haine. Mais ça a toujours été comme ça. Ne peut pas me tenir debout sur ​​la messagerie vocale ou quoi que ce soit, non. Toujours, toujours la haine. Déteste la façon dont j'ai l'air et déteste la façon dont je regarde. Je pense que c'est l'état naturel.

Je ne comprends pas les gens qui sont heureux de se regarder, se l'entendre. C'est un mystère absolu pour moi. Je l'admire. Mon Dieu, je souhaite que je pourrais le faire, mais je ne peux pas.

Tavis : Alors comment peut-on juge, comment ne juge Hugh Laurie, si oui ou non il est heureux avec le projet? Comment vous sentez-vous que si vous n'êtes pas séduit par vos propres sons?

Laurie : Je ne sais pas. Je suis résigné au mécontentement perpétuel. Habituellement, je dois environ 10 ans pour passer et puis je peux regarder en arrière sur quelque chose et je vais bien, que c'était correct. Ou je peux entendre quelque chose et que j'allais bien. À l'époque, je ne pense pas que ce soit possible.

La seule chose que vous puissiez faire est de vous entourer de personnes de confiance et espérez qu'ils vous orienter dans la bonne direction et dire que ça ne se passe réellement ou pouces. Je pense que c'est tout ce que vous pouvez faire. Sinon, vous risquez de vous sorte de ligoté dans votre tête, vous le savez, sur les plus petites choses, parfois des choses que personne d'autre ne le remarquerait.

Tavis : C'est une chose, Hugh, je soupçonne de ne pas être dans l'amour avec le son de votre voix. Mais il est très clair pour moi que vous savez ce que vous aimez en termes de musique quand vous l'entendez. Je veux dire, vous savez les trucs qui vous inspire.

Laurie : Oh, je le fais.

Tavis : Vous savez ce qui vous allume.

Laurie : Tout à fait, tout à fait.

Tavis : Eh bien, ce n'était que de retour dans la journée?

Laurie : Eh bien, je suppose que le premier - je ne suis pas complètement sûr de ce que la première chanson était. Je pense que c'était un Willie Dixon, mais je ne pouvais pas le jurer. Je devais avoir huit ou neuf ans quand j'ai entendu cette chanson.

Je suppose que c'était la première chanson de blues que j'ai jamais entendu, cette note bleue, et ça m'a frappé comme un coup de foudre et j'ai été vibre depuis. C'était comme une sorte de royaume magique que je pouvais aller à travers cette porte qui s'ouvrait.

Et Muddy Waters, je suppose, a été mon premier grand héros. Vous savez, chaque garçon veut être un joueur de guitare et Muddy Waters était le roi. Il était le King Bee. Il était il.

Tavis : Vous avez commencé à chanter ou de jouer d'abord?

Laurie : Oh, jouer, jouer. Non, le chant, c'est une arrivée récente. Je m'améliore à elle [rire]. C'est quelque chose que j'aurais dû faire - bien, toutes ces choses que j'aurais dû faire plus de quand j'étais plus jeune.

Et il n'est pas un être humain vivant qui ne souhaitent pas qu'ils ont travaillé plus fort à un instrument de musique. Droite, de droite. Je n'ai jamais rencontré quelqu'un qui dit, vous savez, je suis vraiment content d'avoir renoncé à la clarinette, vous savez. Personne ne dit cela.

Tavis : Je me botter tous les jours que j'ai arrêté de jouer du saxophone et piano.

Laurie : Ouais. Avez-vous les touchez à tout moment?

Tavis : Si je traverse un piano, si je passe un, je vais arrêter et jouer.

Laurie : Oh, vous voulez?

Tavis : Just ...

Laurie : Oh, la ...

Tavis : La chose de saxophone, cependant, je souhaite que je serais coincé avec elle.

Laurie : La flamme brûle encore.

Tavis : Ouais. Il n'est jamais trop tard, disent-ils, mais ...

Laurie : Ils ne le disent. Je ne sais pas si ils ont raison de dire que [rire], mais ils ne le dis, ouais.

Tavis : Ils ne le disent. Lorsque vous regardez en arrière sur votre vie et votre carrière - c'est l'une de ces questions impossibles. Permettez-moi de vous poser quand même. Comment pensez-vous - parce que je me demande tout le temps - comment voulez-vous que les choses auraient pu être différentes si vous aviez été plus attaché à votre cadeau musical au début de votre vie?

Laurie : Eh bien, ce n'est pas que je n'ai pas commis. Je veux dire, mon amour pour cette musique a été une constante absolue tout au long de ma vie. Mais en termes de performance réelle, de fait me mettre là-bas et de le faire, il est donc difficile de savoir. Je veux dire, je me rends compte que je suis maintenant dans cette position incroyablement béni d'être capable de jouer avec ce groupe et aller sur la route et de mettre sur ces spectacles.

Mais, bien sûr, que ce n'est arrivé après environ 30 ans d'être un acteur. Ce n'est pas comme si c'était un raccourci, d'être un acteur. Je ne conseillerais pas comme un raccourci. Mais il est si difficile de savoir. Je veux dire, vous le savez, la musique est l'un des plus nobles appels que je peux penser. C'est le plus haut de toutes les formes d'art pour moi.

Par exemple, si mon enfant me dit, je veux tout abandonner, quoi que ce soit qu'ils font, et je veux prendre mon saxophone et de sortir, je dirais: «Que Dieu vous accompagne. C'est une grande et noble chose que vous faites ".

Cela ne l'empêche pas d'être très dur. Je veux dire, c'est, une entreprise impitoyable brutal à bien des égards et ne fait que plus avec, comme nous le savons tous, l'effondrement de l'industrie du disque. C'est une vie très, très difficile, mais, mon Dieu, c'est une belle.

Tavis : J'ai repris ce que vous avez dit il ya un instant, Hugh. On m'a demandé, je crois, un millier de fois au cours de ma carrière de ce spectacle, vous le savez, en particulier pourquoi il est que je parle à beaucoup d'artistes comme vous.

C'est parce que je crois que la musique est la plus noble, la plus haute de toutes les formes d'art. Je sais pourquoi je me sens comme ça. Pourquoi pensez-vous de cette façon?

Laurie : Je sais juste - bien, voici un tout petit élément de preuve. Après une journée de travail difficile de faire quelque chose, n'importe qui faire n'importe quel travail partout, qui rentre chez lui et dit: «Chérie, j'ai eu un mauvais jour. Pourquoi faisons-nous pas une scène de "Coriolan" pour se détendre? "[Rire] Personne ne le fait.

Tavis : Ouais [rire].

Laurie : Vous savez, ce que les gens font, c'est leur dernier refuge quand les temps sont durs et les moments ne sont pas, quand les temps sont doux, les premières places des gens veulent aller et le dernier lieu les gens vont de la musique.

Ils veulent se perdre dans la musique, être transporté par la musique. Sa capacité à apaiser, consoler, animer, inspirer est comme rien d'autre que je connais.

Que les gens veulent danser ou ils veulent juste laisser submerger eux, il a un pouvoir que la langue, pour toute sa grande beauté et de sophistication, ne peut jamais assez adresse. Même les plus grands poètes, je pense, ne peuvent pas tout à fait se rendre à des endroits que la musique peut obtenir à l'humain - j'allais dire l'esprit, mais c'est en fait l'ensemble du corps. Il semble en quelque sorte à infuser l'ensemble du corps.

Tavis : Donc, si je comprends votre point, un cadeau qui est enceinte avec ce genre de pouvoir, un cadeau qui est ce noble, doit être, je pense, traité et considéré avec le genre de respect que la vocation comme celle demandes .

Laurie : Je suis entièrement d'accord.

Tavis : Et que font certains artistes et certains artistes ne font pas.

Laurie : Je suis entièrement d'accord, absolument. Et l'une des choses dont je suis tellement envie de faire dans le spectacle que nous faisons sur la route maintenant est d'exprimer dans les termes les plus respectueux, je veux dire, sans que cela devienne, vous le savez, Poe confronté, mais à exprimer ma admiration et mon amour pour cette musique aussi respectueusement que je peux.

La seule chose que je pourrais dire, je suppose, est que - et je pourrais mettre ma main sur mon coeur et dire que tout ce que nous faisons dans le spectacle est sincère. Nous ne faisons rien, ou je ne pouvais pas imaginer nous faire quelque chose, c'est juste pour l'effet, vous le savez.

Oh, nous ne voulons pas vraiment, mais il irons probablement bien. Vous savez, cela va les obtenir sur leurs pieds ou cette volonté - je ne peux pas vraiment faire cela. Je ne peux pas imaginer faire cela. Les chansons que nous jouons sont les chansons que nous aimons et que je les aime autant aujourd'hui que je l'ai fait hier et demain sera. Il est sincère est ce que je veux dire.

Tavis : Donnez-moi un certain sens du spectacle. Lorsque ce projet est sorti, nous en avons parlé sur mon émission de radio.

Laurie : Oui, oui.

Tavis : J'ai écouté à elle depuis qu'il est sorti et aimer chaque morceau. Et maintenant, comme vous l'avez dit, vous et le groupe êtes en tournée à travers le pays aller à différents endroits, différents lieux. Donnez-moi une idée de ce que je vais voir, ce que nous allons voir si nous vous voyons sur la route. Quel est le spectacle comme?

Laurie : Eh bien, je vais vous dire tout d'abord ce que je voulais qu'il ne soit pas.

Tavis : D'accord.

Laurie : Et c'était, je ne voulais pas juste qu'il soit un récital. Je voulais qu'elle ait une sorte de théâtralité à elle, une sorte de - vous savez, pour qu'il soit vraiment un spectacle avec un grand S. Et j'espère que nous avons - je crois - non, je vais aller plus loin. Je sais que nous avons atteint cet objectif.

Je suis très fier du spectacle que nous faisons. Et je sais que, si je m'asseyais là, je l'aimerais. Cela semble arrogant, je sais, mais je vais dire ...

Tavis : Si vous ne pouvez pas l'acheter, vous ne pouvez pas le vendre.

Laurie : Oui, exactement. Exactement. Donc, vous savez, j'espère que c'est un spectacle qui va faire toutes les choses que vous espérez une pièce de divertissement va faire, qu'il fera rire les gens, qu'il va rendre les gens pensent, qu'il fera pleurer les gens, il sera donner aux gens des frissons à certains moments, il fera danser.

Vous savez, je l'espère, tout est là parce que toutes ces choses sont dans cette musique. Toute vie humaine est dans cette musique. Il englobe tout.

Tavis : Pensez-vous que la musique a toujours le pouvoir, la résonance, de le faire dans cette journée et l'âge? Et peut-être la question n'est pas tant une question sur la musique pour savoir si oui ou non nous sommes ouverts à la musique permettant d'influer sur notre vie de cette façon, à nous déplacer dans les manières.

Laurie : Je pense que oui. Je veux dire, je pense que - vous savez, c'est une chose étrange sur le monde. Tout semble s'accélérer d'année en année. Tout devient plus fragmenté. Nous semblons être répondre à nos communications avec les autres et avec nous-mêmes en morceaux plus petits et plus petits.

Vous savez, c'est 140 caractères cette année. Peut-être que quelqu'un va venir avec elle en disant: oui, vous pouvez faire tout cela en 10 caractères. Eh bien, c'est que la façon dont nous pensons à nos vies?

Mais je pense que la musique ne maintenant et sera toujours transcender ce genre de fragmentation. Je pense que la musique est le refuge. C'est l'endroit où nous allons échapper, de trouver du réconfort et de trouver la paix et le bonheur, la joie.

Je veux dire, je pense que c'est - je ne peux pas imaginer - au moins si ce moment ne disparaît jamais, je suis sorti. Je ne - je remets mon billet de retour pour une balade sur ce globe en rotation parce que je ne peux pas imaginer ce que la vie sur cette terre serait comme sans musique. Je ne peux pas le concevoir.

Tavis : Donnez-moi le bon et le mauvais, le haut, le bas, vous le savez, vous prenez mon point, de venir dans ce genre d'exposition pour votre musique après être devenu une star?

Laurie : Eh bien, je suppose ...

Tavis : Quelle est la place et quel est le bas?

Laurie : Eh bien, la mise à jour - la plus évidente jusqu'à est que je n'ai pas nécessairement à frapper sur les portes, vous le savez, prendre à essayer de percer à un public d'amener les gens à venir à l'exposition de la peau de mes doigts. Tout d'abord, ils sont curieux de voir ce que ce que l'enfer? Qu'est-ce ce que ça va être comme? Ce que je comprends. Je ferais la même chose.

Je suppose que si il ya une baisse, peut-être à venir avec c'est la difficulté de transformer ce que les gens attendent de vous. Ils ont l'habitude de vous voir dans un sens particulier et pourquoi devraient-ils consacrer toute l'énergie de vous voir d'une autre façon? Et c'est aussi compréhensible.

Donc, ma responsabilité à la musique et à mon propre amour pour la musique est juste de continuer. C'est de ne pas nécessairement juste penser, vous le savez, le spectacle de ce soir et le spectacle de demain, mais pense en fait que d'ici 10 ans.

Je vais être encore en train d'exprimer ces chansons que j'ai trouvé que je t'aime, que je pense peut déplacer d'autres personnes autant qu'ils me touchent. C'est quelque chose que je peux partager. Vous savez, je vais - je suis déterminé à persévérer. Je vais continuer à persévérer.

Tavis : je pense, que vous le sachiez ou non, si jamais vous en contact avec elle ou non, Hugh, je soupçonne que, à chaque un de vos spectacles - cela va changer au fil du temps. Mais je soupçonne à chacun de vos spectacles, il ya une part de l'auditoire, de votre point plus tôt, qui vous donnera le bénéfice du doute de l'achat d'un billet de vous voir parce qu'ils veulent vous voir dans cet autre espace.

Laurie : Oui, oui.

Tavis : Mais ils marchent avec une attitude qui dit le prouver à moi.

Laurie : Ouais!

Tavis : Comment réagissez-vous à cette tranche du public qui siègent là sur leur mains dit, d'accord, prouver à moi?

Laurie : La chose drôle est que ce côté de ça ne me dérange pas du tout seulement parce que c'est moi. Je ferais cela. Je sais que, si quelqu'un m'a convaincu d'aller voir - je ferais mieux de ne citerai pas de noms [rire] - un acteur, je sais que j'aurais ce léger sentiment de, oh, vraiment? Je pense que c'est tout à fait raison. C'est comme il se doit. Personne ne devrait avoir une sorte de laissez-passer et je suis déterminé à sorte de gagner les gens juste à travers le spectacle lui-même.

Et j'espère, j'espère et je crois - bien, je sais qu'il fait parce que nous avons eu ce genre de conversations après le spectacle, vous savez, il ya eu des gens qui viennent ne sachant rien de ce à quoi s'attendre, ne sachant rien de cette musique, ne sachant même pas le nom, pouvez-vous croire, Bessie Smith. Et au cours de l'émission, je l'espère - je veux dire, je parle de Bessie Smith un peu et le merveilleux Jean McLean chante une chanson Bessie Smith.

Et j'espère que, d'ici la fin de celui-ci, il ya, vous le savez, jeune ou vieux, il ya des gens qui vont, wow, vous le savez, le nom sonne une cloche, mais je ne savais pas vraiment quoi que ce soit à ce sujet.

Et ils vont et ils écoutent et ils deviennent connecté à cette musique d'une manière qu'ils ne l'auraient fait autrement. Si cela se produit, même juste pour une personne dans un spectacle, je considère que la victoire.

Tavis : Permettez-moi de vous demander comment vous prenez au sérieux le rôle et la responsabilité que vous venez maintenant sorte de affecté à éduquer le public autant que pour les divertir.

J'étais à New York il ya quelques jours et a finalement obtenu une chance de voir Audra McDonald dans son truc "Lady Day". Je veux dire, Audra, cinq fois vainqueur Tony. Elle est à peine âgé de 43 ans, a obtenu cinq de ces choses déjà. Je veux dire, Audra est tout cela et plus encore.

Je savais donc que le spectacle allait être grand. Mais je suis allé dans les coulisses après lui parler. Je lui disais combien j'étais ému et combien j'ai été à l'éducation qu'elle a donné au public.

Parce que c'est un merveilleux spectacle, mais vous apprenez Bessie Smith, vous apprenez Lady Day, vous apprenez à propos de The Prez, vous apprenez - Je veux dire, elle te donne comme elle agit une leçon d'histoire . Et j'ai l'impression que, à ce que vous avez dit il ya un instant, que dans votre salon, vous êtes certains de tissage qui.

Laurie : je fais. Je ne peux pas l'aider. C'est en partie parce que je suis un peu ballot et je ne peux pas m'empêcher gabbling sur sur ce genre de choses parce que je l'aime tellement. Je veux dire, Dieu, je n'aimerais que les gens pensent que c'est une sorte de conférence de musicologie sec.

Tavis : Non, non, non. Ces notes de berceau, comme ils l'étaient, je pense, sont bien pour le public.

Laurie : Eh bien, je pense qu'ils - je veux dire, je pense qu'ils ajoutent au plaisir. Je veux dire, quand vous apprenez, par exemple, que Lead Belly fut à deux reprises - une fois au Texas et en Louisiane fois - a été libéré de prison par le gouverneur de l'Etat du fait des chansons qu'il a écrit.

Le gouverneur du Texas - ". Bonne nuit, Irène" en fait, je crois qu'il est descendu une condamnation à vie au Texas parce que le gouverneur de l'État est tombé en amour avec la chanson, il a juste dit que vous pouvez aller [rire]. Vous savez, la vitesse Dieu.

Tavis : Cela ne fonctionne pas pour James Brown.

Laurie : Il n'a pas fait. Ce n'est pas une stratégie uniforme [rire]. Ce n'est pas complètement fiable à 100%. En fait, les enfants, ne comptez pas sur elle. Mais je ne peux que penser que juste une sorte de ajoute au plaisir. Je pense que cela change la façon dont vous écoutez.

Une fois que vous avez ce petit fragment de la vie de quelqu'un, même si il ya beaucoup d'invention et de fabrication de mythes qui je suis sûr qu'il est, qui fait partie de l'amusement de lui en quelque sorte. Il sorte de ajoute à la façon dont vous l'entendez et la façon dont vous répondez à cela. C'est une chanson écrite par un vrai - vous savez, ce n'était pas un comité juste une sorte de déployer ce genre de choses.

C'était un gars qui a vécu une vie et un enfer d'une vie trop. Et sa vie est dans ces chansons; son imagination dans ces chansons. Et je pense juste à savoir que même si c'est seulement que sur Lead Belly, je pense que quelque sorte - je pense que cela ajoute à la texture de la soirée.

Tavis : Alors, voici la question que vous savez que je voulais poser.

Laurie : Oh, non.

Tavis : Oui, ce qui est J'adore les trucs que vous avez fait sur ​​ces projets. Mais tu as fait la substance d'autres peuples.

Laurie : Ouais.

Tavis : Alors, quelle est la question que je m'apprête à poser?

Laurie : La question est quand vais-je mettre dans mon propre petit bateau à rames et effectivement ne - bien, je veux dire, ai-je bien compris?

Tavis : Vous êtes prémonitoire et prophétique.

Laurie : C'est incroyable, n'est-ce pas?

Tavis : Ouais [rire].

Laurie : Il est possible que la remise des gaz, il est possible prochaine. Je veux dire, c'est quelque chose que je voulais faire et l'ont fait. Je veux dire, j'écris des chansons. Je suis tellement conscient du fait qu'il ya tant de trésors cachés là-bas. Vous savez, certaines des chansons que nous ne l'avons à peine été entendus car ils ont été enregistrés il ya 80, 90, 100 ans.

Et aussi longtemps que il ya les pierres précieuses se trouvant là-bas, je me sens le monde n'a pas nécessairement besoin plus de chansons. Mais le monde n'a pas besoin de plus de quelque chose de vraiment. Le monde de l'abondance de beaucoup.

Tavis : Bon point.

Laurie : Mais je ne pense, vous savez, à un certain moment je dois prendre mon courage à deux mains et dire, oui, c'est moi, et la lune en Juin. J'ai écrit cette ligne, oui. Que pensez-vous de celui-ci [rire]?

Tavis : Je l'aime. Je l'aime.

Laurie : Eh bien, il ya quelque chose là-dedans.

Tavis : Hey, Jonathan, a mis la couverture du CD de secours pour moi. Je veux dire, j'aime cette couverture, l'homme. Vous devez me dire qui est cette idée était [rire]. Il ya ce petit piano. J'aime cela.

Laurie : C'était mon idée. Je voulais - je serais toujours aimé que Schroeder, la chose arachides. Mais j'ai aussi - je voulais avoir une image qui a réussi à combiner une sorte de gravité, la gravité de ce que cela signifie pour moi, mais aussi la connaissance que je ne veux pas que les gens pensent que je ne suis pas au courant de la façon dont impair c'est que je fais cela, vous le savez.

Que certaines personnes peuvent aller - vous savez, je vais être assis à un piano avec un manuscrit et une sorte de sucer un crayon va c'est mon âme créatrice [rire]. Je veux que les gens sachent que je sais combien il est difficile. C'est beaucoup demander aux gens à avaler et je veux que les gens sachent que je comprends. Donc, c'était l'idée.

Tavis : Et ". Vous n'avez pas It Rain" Tout d'abord, "at-It Rain" est une grande piste. C'est une belle chanson.

Laurie : Merci. C'est incroyable.

Tavis : Pourquoi aimez-vous tellement et pourquoi est-il arrivé à être la chanson-titre?

Laurie : Eh bien, Sister Rosetta Tharpe était tout simplement énorme pour moi quand je grandissais. En fait, maintenant, nous faisons deux chansons Sister Rosetta Tharpe dans le spectacle et elle était juste une énorme influence sur moi dans son genre d'esprit et son sang-froid.

Elle était debout trop la là avec cette Fender blanc. Elle obtient les poils sur le dos de mon cou va juste même de penser à elle, peu importe l'entendre. Alors, elle a juste été une figure centrale. Je voulais aussi - il ya quelque chose que je voulais faire avec cet album, contrairement au premier était d'avoir plus d'une voix féminine lui.

J'étais au courant de la première fois qu'il était un groupe d'hommes marteler sur les guitares. Je veux dire, je suis très fier de lui. Ne vous méprenez pas. Je suis très fier du premier album, mais je voulais le deuxième à être - parce que dans mon esprit, beaucoup de cette musique vient en fait de femmes.

Les premières grandes stars, Bessie Smith, Ma Rainey, vous savez, ce sont gigantesques étoiles. Je me demande même parfois si toute la musique vient en fait de femmes, que ce soit la première lueur de la musique est une mère apaisant un bébé.

Peut-être que c'est ce que tout cela vient - il est donc primordial. Et je voulais que cela - ne pas faire quelque chose de romantique exactement, mais de faire quelque chose qui est plus d'une conversation entre les hommes et les femmes.

Tavis : Mission accomplie.

Laurie : Pourquoi, je vous remercie, je vous remercie, Tavis.

Tavis : Mission accomplie. Comme je l'ai mentionné plus tôt, nous avons eu la chance de s'asseoir et de parler à Hugh de notre émission de radio quand ce projet premier est sorti. Et quelle chance nous sommes maintenant qu'il a fait le tour du pays maintenant. Si vous pouvez obtenir un billet pour entrer pour voir ce gars quelque part durant l'été, vous ne voudrez pas manquer Hugh Laure et sa bande comme ils le font leur chose sur la route.

Le dernier projet de Hugh Laure est appelé "at-il pas pleuvoir." Vous en s'amusant sur la tournée? Appréciez-vous ce? Jouer pour ces personnes?

Laurie : C'est une sorte de pudeur à quel point je m'amuse [rire]. Je me sens comme quelqu'un va venir, comme le va du garçon venu avec le chèque tout moment. Je vais aller, oh, mon, oui. Je suis une sorte de préparai pour elle parce que je suis une sorte d'avoir trop de plaisir. Il ne devrait pas vraiment être légal. Je m'excuse, oui.

Tavis : Eh bien, si vous lui en profitant de "House", vous aurez vraiment l'apprécier sur la scène. Réel plaisir de vous voir, l'homme.

Laurie : Oui. Vous aussi. Merci beaucoup.

Tavis : Félicitations. Avoir un grand tour, l'homme.

Laurie : Je vous remercie.

Tavis : C'est notre spectacle pour ce soir. Merci pour regarder et, comme toujours, garder la foi.

Annonceur : Pour plus d'informations sur l'émission d'aujourd'hui, visitez Tavis Smiley à pbs.org.